Nouvel An à Paris : 340.000 fêtards sur les Champs et à la Tour Eiffel
"Nouvel An à Paris : 340.000 fêtards sur les Champs et à la Tour Eiffel"
La fête a primé cette année sur les débordements. Un peu
partout, les Français ont célébré dans la bonne humeur la
Saint-Syvestre. Sur les Champs-Elysées, il y avait toute- fois beaucoup moins de monde que l’an dernier. (2010)
Quelque 300.000 personnes ont fêté le Nouvel An dans la nuit sur les Champs-Élysées et 40.000 autres au Champ de Mars et au Trocadéro, selon la préfecture de police de Paris.
Un Nouvel An plutôt tranquille. A Paris, la nuit marquant le passage de 2012 à 2013 n'a été marquée par aucun incident notable, selon la préfecture de police de Paris. L'affluence des fêtards (300.000 personnes sur les Champs-Élysées, 40.000 autres au Champ de Mars et au Trocadéro, un nombre stable par rapport à l'année précédente) était, il est vrai, sérieusement encadrée par un dispositif de sécurité renforcé : près de 9000 policiers et gendarmes avaient été engagés sur Paris et les trois départements de la Petite couronne. Le seul événement signalé par ailleurs de source policière à Paris était le braquage lundi soir vers 21h de l'Apple Store du quartier de l'Opéra, dont le butin n'était pas encore connu précisément, mais pourrait avoisiner le million d'euros.
Affluence de voyageurs dans les transports publics Pour cette nuit du Nouvel An, le dispositif de sécurisation des transports publics parisiens, gratuits pour l'occasion, avait été renforcé et a permis de canaliser les mouvements importants de voyageurs. Au niveau national, selon le ministre de l'Intérieur Manuel Valls, 65.000 agents des services publics (policiers, gendarmes, sapeurs-pompiers, secouristes) étaient mobilisés pour le passage à l'An 2013. Le ministre avait par ailleurs confirmé lundi que les chiffres des véhicules incendiés lors de la Saint-Sylvestre seraient communiqués dès qu'ils seraient "consolidés". Leur publication avait été abandonnée en 2010 par ses prédécesseurs de droite afin d'"éviter toute surenchère ou compétition entre villes".
