Le Pen : "le droit des femmes recule à cause d'une immigration massive"
Le Pen : "le droit des femmes recule à cause d'une immigration massive" - Ле Пен: "права женщин понизились, вследствие массовой иммиграции"
Concernant le droit des femmes, Marine Le Pen, a de nouveau pointé du doigt, dimanche, l'immigration massive et le fondamentalisme religieux, "qui ont pour les femmes le plus grand mépris".
"Oui, l'insécurité qui touche les femmes augmente", a déclaré Marine Le Pen sur France 3, dimanche. Pour l'eurodéputée FN, "le droit des femmes est en train de reculer, notamment à cause d'une immigration massive qui porte en elle une vision, une culture des fondamentalistes qui ont de la femme une vision absolument dépréciée, qui ont pour les femmes le plus grand mépris et l'expriment de manière quotidienne".
Interrogée sur les conclusions de l'Observatoire national de l'islamophobie, qui dénonçait à la mi-novembre une hausse "inquiétante" d'actes islamophobes, elle a dénié "tout sérieux, toute crédibilité, toute légitimité à cette association prosélyte", financée "par Monsieur Soros, le grand manitou de la mondialisation et de la loi de la jungle".
"C'est la politique UMPS, ils sont parfaitement d'accord" Concernant l'immigration, elle a fustigé la politique du ministre de l'Intérieur Manuel Valls : "c'est la politique UMPS, ils sont parfaitement d'accord", a-t-elle ironisé. "La droite a fait preuve d'un immense laxisme", avec "200 000 entrées légales par an, sans compter les clandestins qui ne sont plus renvoyés dans leur pays".
Réfutant le terme de "sans-papiers" qui réduit "le problème à une situation administrative", elle a tranché : "ce sont des clandestins, ils violent la loi française". Quand M. Valls en régularise 30 000, notamment ceux qui travaillent, "il répond aux exigences du Medef". "Le PS main dans la main avec le grand patronat, ça peut en étonner certains, moi en tout cas, ça ne m'étonne pas", a lancé Marine Le Pen.
Concernant le droit des femmes, Marine Le Pen, a de nouveau pointé du doigt, dimanche, l'immigration massive et le fondamentalisme religieux, "qui ont pour les femmes le plus grand mépris".